J'ai pris l'habitude de me déplacer en vélo, un carnet dans la poche et une question en tête : est-ce que j'aimerais vivre ici?
Le non qui l'emporte me fixe dans le projet.
La lumière, l'ombre, l'eau, les bruits se chahutent dans ma tête. je recolle les morceaux petit-à-petit fouillant dans ma mémoire "un déjà vue" en mieux.
Je m'intéresse aux paysages qui évoluent dans les saisons, pendant un chantier ou encore suivant des parcours.
J'habite depuis peu à Toulouse. C'est une ville complexe aux périphéries sans fin.